mercredi 25 juillet 2012

10 JUIN- FUNCHAL, MADÈRE.
Nous retrouvons le Portugal. Nous avons choisi l’excursion « L’Ouest de Madère », en se disant que la ville de Funchal aura probablement des similitudes avec les villes insulaires, et que le plus intéressant sera de découvrir le reste de l’île. Effectivement, nous n’aurons pas le temps de visiter la capitale de l’île de Madère. Nous souhaiterions trouver une ou des places où faire des séjours prolongés durant les mois difficiles de notre hiver québécois, et il nous faut une connaissance un peu plus précise des lieux où nous souhaiterions séjourner.
D’abord, la première curiosité de notre excursion est la tenue vestimentaire de notre guide, ou de toutes les guides de ce tour. Elles sont toutes habillés de la même façon : pantalons ou jeans serrés, escarpins de bois avec lanières de couleur. Étrange. Mais Monika, car elle s’appelle ainsi, ne sera pas très bonne.




Ma première impression de l'île est bonne. Il s'agit d'une île aux milles surprises. Premier arrêt, Camera de Lobis, petit village de pêche, où il ne reste au plus qu'une vingtaine de barques petites et défraîchies, mais peinturées de couleurs très vives : le rouge, le bleu et le jaune sont présent. On continue à faire sécher le poisson. Je me demande ce que font les autres habitants de ce village. Quelques autobus en même temps, pour photographier le petit coin, les barques, et les poissons qui sèchent. C'a fait pas mal de monde dans le petit village.
L'église du village est belle et assez caractéristique des églises de cette région. Au plafond, on y retrouve plusieurs candélabres suspendus. Première fois que je vois cela. Avec le doré, on dirait une influence grecque orthodoxe, ce que la guide nie véhémment. C'est de style madérien qu’elle me dit, c'est tout. Comme c’est dimanche, tout est fermé. Seuls les hommes sont dehors, jouant un jeu de carte avec beaucoup d'énergie. On ne voit presque pas de femmes; pourtant la journée est très belle. Ce n'est pas un village très riche, mais on y retrouve une certaine originalité. 


Je remarque dans une vitrine qu’on y vend de l’Absinthe à 80% d’alcool !! Comment peut-on se relever d’une cuite à l’absinthe ?






Ensuite, CABO GIRAO, où on contemple les deuxièmes plus hautes falaises d'Europe. Assez impressionnant. Puis la route vers Serra de Agua, où on monte au sommet de l'Encumeada, à 1007m. On ne voit rien, il y a de la brume partout, ou nous sommes dans les nuages. Redescente vers l'autre face de l'île, la face nord, en passant par Sao Vicente. 












La, parcours sur une route qui est littéralement dans le vide. Autrefois, elle laissait passer les autos dans les deux directions. Impossible d'envisager un tel événement. C'est vraiment énervant de penser que le chauffeur d'un autobus à une si grande responsabilité. Enfin, c'est l'expérience, et elle est unique. J'imagine que les routes de la Corse doivent être similaires. On arrive à Porto Moniz, autre petit village touristique pour le lunch, où on mange au restaurant ORCA. On mange d'abord la soupe recommandée, tomate oignons, avec un oeuf, et on prend de l'Espada, poisson qui, paraît-il, il faut mieux goûter que regarder!!. Je le prends comme il est conseillé, ie aux bananes. C'est très bon, mais le goût des bananes est un peu trop fort.  Bière locale de Madère, la bière CORAL, qui est aussi très goûteuse.
Ce petit village est entouré de piscines creusées naturellement et qui ont été "améliorées" par les organismes touristiques. Semble intéressant de s'y baigner, mais nous n'avons pas le temps!!
Retour le long de la côte, par CALHETA. On a vu beaucoup de paysages de l'île de Madère. C'est très diversifié, on se plaît à imaginer explorer les très nombreux sentiers pédestres qui s'y trouvent et a faire la farniente.






Puis retour dans notre 5 étoiles
Je crois qu'on y reviendra.







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