samedi 30 juin 2012

BARCELONE 2-4 juin 2012


Première étape d'un voyage qui nous mènera, par bateau, de Barcelone à Lisbonne.
Pour une rare fois, nous conduisons de Québec vers Montréal où notre ami nous a gentiment fourni l’espace de stationnement pour les trois prochaines semaines. Air Transat fournit l’avantage des vols directs Montréal-Barcelone et, pour notre retour, Lisbonne-Montréal. Ceci élimine l’attente à Frankfort ou Munich, si on vole par Air Canada, et le temps de la connexion. L'aller en auto vers Montréal ne dérange pas, on part, mais 3 heures d’auto au retour, c’est une toute autre chose.  
Je peux dire d'emblée que notre expérience fut concluante. L'utilisation de l’auto m'apparait préférable à celles des connexions aériennes, en terme d'économie de temps et d'énergie, s’il existe des possibilités de vols directs à partir de Montréal, et si l'heure d'arrivée du vol de retour est dans une fourchette "acceptable". Je ne crois pas que de conduire à 03h00 du matin est intéressant au retour d'un vol de 7 heures!.
Bon, nou allons partir, mais.....comme il arrive souvent....., notre vol fut retardé de deux heures, et nous avons dû attendre une autre heure dans l’avion pour je ne sais quelle raison. Lorsque le départ doit être à 22h00 et qu’il se fait effectivement à 01h00, la différence se fait sentir durant le vol (manger ou dormir ?) et à l’arrivée. Petit commentaire sur Air Transat. On paye moins cher, mais on en a pas mal moins. La nourriture n'est pas à la hauteur de celle d'Air Canada, on ne sert qu'un minuscule verre de vin et le système de divertissement, et bien, il n'en est pas un. Mais, c'est moins cher et c'a nous mène là où mous voulons aller.
Ah ! revoir Barcelone. Quelle belle ville, agréable, dynamique. C’est notre quatrième voyage ici et on commence à se sentir chez nous !

Notre hôtel se nomme « HOTEL BARCELONE CATEDRAL ». C’est un hôtel boutique très bien situé, presque adjacent à la cathédrale de Barcelone, mais sur une rue très peu passante. L’hôtel est moderne, luxueux, confortable et vraiment propre. Le personnel est accueillant, Le wi-fi est fourni gratuitement et les petits déjeuners sont compris dans le prix. Ces petits déjeuners sont servis sous terrasse ou à l’intérieur. Ils sont succulents et très copieux. Un très bon choix d’hôtel pour Barcelone. Presque tout est à distance de marche.
Malgré la fatigue du voyage, nous avons refait connaissance avec le vieux Barcelone. Lors de nos dernières visites, nous avions eu de la pluie. Revoir Barcelone sous le soleil, même si c’est chaud, nous procure une vision très différente de la ville. Se perdre dans les vieilles rues et découvrir de nouvelles fenêtres, portes, façades : quel plaisir.
L’hôtel nous a recommandé un restaurant très sympatique et vraiment excellent: le « CUINES DA SANTA CATERINA », situé dans le "Merkat de Santa Catorina". L’ambiance est particulièrement dynamique. Le rapport qualité prix est particulièrement satisfaisant. J’ai choisi les calmars poêlés et le cochon au lait. Vraiment excellent.
Suite demain


vendredi 29 juin 2012

JAMES TAYLOR EN SPECTACLE À LA PLACE DES ARTS, LE 28 JUIN 2012

J’aime James Taylor depuis très longtemps, mais je ne l’avais jamais vu en spectacle. Je suis encore sur le nuage où il m’a littéralement propulsé, lui et sa « gagne », lors de son spectacle du 28 juin à la PDA. Je crois même avoir presque cogné à la porte du ciel durant la soirée, tant certains des moments musicaux qu’il nous a livrés étaient magiques.
D’abord James Taylor a 64 ans. Il conserve toujours cette voix un peu particulière, mais très précise et si agréable à entendre. En l’écoutant, on le devine bon musicien, mais on réalise qu’il est aussi un excellent technicien de la musique lorsqu’on le voit manier la guitare, ou plutôt les trois guitares dont il nous a fait l’honneur d’entendre.
Ensuite il y a l’interprétation des textes avec cette voix. Peu de différence dans le style musical entre ce qu’on entend sur le CD et la reddition « live », mais toute la puissance et la différence proviennent de l’ajout du talent de ses musiciens et de ses choristes.
Je ne suis pas un mélomane comme j’imagine ce que peut être un mélomane. J’aime plusieurs styles de musique. J’avoue avoir un faible pour le style « folk rock ». Alors la rencontre des mots et de la trame musicale de James Taylor, de sa voix particulière et de la musique éblouissante et admirable qu’ont fournie ses 11 musiciens et choristes m’a littéralement propulsé sur mon nuage.
Sa complicité avec la foule et ses choristes et musiciens était communicative. Plusieurs succès, dont « You’ve got a friend », que nous avons eu le bonheur d’entendre, contrairement à ceux qui étaient au spectacle de la veille, nous ont été livrés, dont « Mexico », « Steamroler », « Country Road » et « Sweet Baby James ». J’ai adoré quelques pièces qui m’étaient inconnues et que j’avais peu entendues, comme « Frozen man » et une autre, balade amoureuse qui m’a catatonisée, et dont je ne connais pas le titre. Nous avons aussi eu des moments où il était seul avec sa guitare acoustique. Ce sont ces moments précieux où sa voix est particulièrement à l’honneur. Plusieurs styles de musique nous ont été livrés : le style western, la balade, le rock, le latino (à sa façon, avec son percussionniste cubain),etc.. À la fin, tous les spectateurs de la PDA étaient debout pour taper des mains et danser au son de « How sweet it is ».
Vraiment, « How sweet it is » résume bien cette soirée : « How sweet it is to listen to you » !!
Merci James et à la prochaine.


Ps petite note : à la PDA, les gens ouvrent continuellement leur téléphone portable pour prendre leur « tweet » ou pour filmer et prendre des photos. Je ne comprends pas pourquoi la PDA tolère cela, ou plus encore, comment les spectateurs adjacents à ces personnes tolèrent c’a ! Imaginons un instant que tous les écrans cathodiques des spectateurs soient allumés ! Enfin…