C’est
par le port de Cadix que nous irons à Malaga, en excursion.
Nos
amis, eux, irons visiter l’Alhambra, à Grenade. Nous avons choisi de ne pas
retourner visiter l’Alhambra, malgré la beauté de ce site, car nous y sommes
déjà allés, et, comme je le disais dans le blogue précédent, nous souhaitons
découvrir des endroits où revenir lors des mois durs de l’hiver québécois.
Ce
fut une excursion décevante, car nous n’avons pu passer assez de temps libre
pour découvrir la ville de Malaga. Le groupe est demeuré ensemble et le temps
pris pour le lunch était trop important. Néanmoins, nous avons débuté par une
visite du Castillo de Gibralfaro, genre de château dont la seule importance est
de fournir à ses visiteurs une vue imprenable sur la ville. Puis, par autobus,
nous descendons vers la vieille ville où on nous emmène dans la cathédrale de la Encarnacion, surnommée "La Manchotta" (La Manchotte) car elle n'a qu'une tour!
Même si on n'en parle pas dans les guides, j'ai aimé cette version de la Pieta d'un artiste inconnu. On m'a fait remarqué que les proportions de la main de la vierge avec son corps ne sont pas correctes.
C'est probablement pourquoi cette version est dans cette cathédrale!.Par la suite, nous visitons les alentours, mais
très rapidement car il faut aller luncher !.
Les
résidences sont coquettes et un bon nombre d’entre elles sont fleuries. On ne
voit pas de grands développements hôteliers à l’instar des autres villes
côtières du sud de l’Espagne. On dirait que Malaga a, en partie, été épargnée
de cette ignominie de planification urbaine.
Il
fait beau, il fait chaud, il y a beaucoup de fleurs, nous sommes en Espagne et
nous découvrons de nouveaux coins de pays. Je ne suis pas prêt à laisser aller
Malaga comme future destination, mais ce ne sera probablement pas mon premier
choix.
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